ARJUM

Nutrition et médecine chinoise, l’alimentation rectifiée du juste milieu

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Le Docteur Angles interviendra encore le mardi 25 octobre prochain à 19 H 30 sur le thème : Nutrition et médecine chinoise, l’alimentation rectifiée du juste milieu, à la Maison des associations de solidarité – Salle Emile Laffon 10 rue des terres au curé 75013 Paris

Inscription ici : http://www.ipsn.eu/actualites/29eme-rencontre-de-lipsn-nutrition-et-medecine-chinoise-avec-le-dr-michel-angles/

 

La Médecine Traditionnelle Chinoise, quelle place en Europe ?

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Le Docteur Michel ANGLES, créateur de la méthode BMTBV© et promoteur de l’Alimentation Rectifiée du JUste Milieu (ARJUM©) était l’invité de Deborah Donnier qui l’interviewait pour le magazine Prévention Santé, lors du Congrès de l’Institut Pour la Santé Naturelle (I.P.S.N.) au Parc Floral de Vincennes, les 1er et 2 octobre dernier.

Invité en tant qu’ expert en médecine chinoise et notamment pour sa maîtrise et sa connaissance du Qi gong, il avait pu intervenir lors d’une conférence sur ce sujet et sur l’importance de l’alimentation pour la santé. L’ARJUM©, des exercice de Qi Gong simples et une supplémentation en omega3 permet souvent le bien-être auxquels les patients comme les bien-portants aspirent.

Vous pouvez retrouver cette interview ici : http://www.prevention-sante.eu/radio-tv/medecine-chinoise-place-europe-dr-michel-angles

Le Docteur Angles interviendra encore le mardi 25 octobre prochain à 19 H 30 sur le thème : Nutrition et médecine chinoise, l’alimentation rectifiée du juste milieu, à la Maison des associations de solidarité – Salle Emile Laffon 10 rue des terres au curé 75013 Paris

Inscription ici : http://www.ipsn.eu/actualites/29eme-rencontre-de-lipsn-nutrition-et-medecine-chinoise-avec-le-dr-michel-angles/

Le petit déjeuner

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Dans l’ARJUM®, pour le petit déjeuner, nous vous proposons de faire un vrai repas avec 3 portions de Glucides, 3 portions de Lipides et 3 portions de Protides.

LE PETIT DÉJEUNER

 

Vous l’aurez compris, le petit déjeuner continental bourré de céréales et de produits laitiers est une véritable catastrophe !

Ingurgité à la va-vite, (quand il est pris…), il entraine évidemment à 10 ou 11 heures le « coup de pompe » (ou l’hypoglycémie pour employer un terme plus médical).

Dans l’ARJUM®, pour le petit déjeuner, nous vous proposons de faire un vrai repas avec 3 portions de Glucides, 3 portions de Lipides et 3 portions de Protides.

Tout d’abord, n’oublions pas qu’il ne faut pas attendre plus d’une heure après le réveil pour prendre son petit déjeuner.

Selon vos habitudes de vie vous pouvez faire un vrai repas classique et vous n’avez qu’à procéder comme pour les autres repas de la journée.

Cependant, (trop) nombreux sont encore ceux qui n’ont pas envie de faire un « vrai » repas pour commencer la journée par manque d’habitude ou de temps. Dans ce cas, vous pouvez vous y adapter néanmoins progressivement en composant votre repas du petit déjeuner, dans un premier temps, de la façon suivante :

  • Glucides :  Des fruits de saison frais (pas de jus de fruit du commerce ni même de jus de fruit confectionné à la maison avec une centrifugeuse à partir de fruits frais car on perd toutes les fibres), une galette de sarrasin, de riz ou de quinoa, une cuillère de confiture ou miel (vérifier les étiquettes)…
  • Protides : Des protéines sous forme d’œufs, de blancs d’œuf, de charcuterie, de viande, de poissons ou de différentes formes de soja selon votre goût…
  • Lipides : Des fruits secs oléagineux (noix, noisettes, amandes, …)
  • Un bol de tisane, de thé ou de café.

En préparant vos ingrédients la veille cela vous permettra de ne pas perdre de temps le matin si vous êtes pressé et vous évitera de manger des fruits trop froids, sortis directement du réfrigérateur.

Vous calculez les quantités qu’il vous faut grâce au composeur de menu ARJUM® et vous vous régalez de ce nouveau petit déjeuner qui vous apportera confort et bien-être toute la matinée ou du moins jusqu’à l’heure de la collation ; n’oubliez pas qu’il ne faut jamais laisser passer plus de 4 heures (au grand maximum 6 heures) sans prendre un repas ou une collation.

Bien entendu, comme toujours, VARIEZ!

Tous les jours, essayez de changer d’ingrédients pour éviter de développer des intolérances alimentaires.

Nota : En matière de poisson, pour ceux qui sont prêts à en manger le matin de bonne heure, vous pouvez consommer des petits poissons en conserve, harengs et sardines et maquereaux notamment, en faisant bien attention de lire scrupuleusement la composition pour éviter tout xénobiotique éventuellement contenu dans les ingrédients accompagnant les poissons cuisinés.

Recommandations de lecture pour en savoir plus

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Cette bibliographie est la liste d’une partie des ouvrages que nous avons consultés pour mettre au point notre méthode ARJUM®.

Quelques uns de ces ouvrages comportent des thèses complètement opposées à celles de notre méthode qui est basée sur une Alimentation Rectifiée (c’est à dire qui n’accepte que les aliments que nous sommes capables de digérer) dans le JUste Milieu (c’est à dire qui évite les excès de tous ordres) = ARJUM®.

Quant à la majorité des autres ouvrages que nous avons étudiés ils développent des points de vue plus ou moins partiels qui sont souvent considérés comme des panacées, comme des méthodes universelles, alors qu’ils ne prennent en compte qu’un seul point de vue et négligent bien d’autres aspects importants ou fondamentaux.

Dans le site BMTBV® nous essayons de faire une synthèse de tous ces points de vue qui sont complémentaires en nous positionnant dans le Juste Milieu.

Laozi (Lao Tseu) disait : « Trente rayons convergent au moyeu mais c’est le Vide du Milieu qui fait tourner la roue ».

 

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TitreAuteurMaison d’éditionObservations
L’alimentation ou la troisième médecineDr Jean SeignaletEditions du RocherComparaison de l’ARJUM® et des différents régimes
PAINS ET BRIOCHES SANS GLUTENAlice LafonLa PlageSauf la recette à base de Millet
Le régime Seignalet en 60 recettes : Tous les conseils pratiques pour un quotidien sans gluten et sans lait !Anne Seignalet et Valérie CupillardPRAT ÉditionsVoir notre article : Comparaison ARJUM® et différents "Régimes"
Comprendre et pratiquer le régime Seignalet : L alimentation ou la troisième médecineDominique Seignalet et Anne SeignaletÉditions F-X de GuibertVoir notre article : Comparaison ARJUM® et différents "Régimes"
Comprendre et pratiquer le régime Seignalet : L alimentation ou la troisième médecineJean-Marie MagnienThierry SOUCCAR ÉditionsVoir notre article : Comparaison ARJUM® et différents "Régimes"
The Mediterranean Zone: Unleash the Power of the World’s Healthiest Diet for Superior Weight Loss, Health, and LongevityBarry Sears Ph.D.Ballantine Books New York, Oct 21, 2014Voir notre article : Comparaison ARJUM® et différents "Régimes"

Les collations

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C’est un des éléments-clés de l’ARJUM® ; c’est elle qui permet de pratiquer la restriction calorique sans jamais être tenaillé par la faim.

Il est très important aussi qu’elle soit équilibrée en Glucides, Protides et Lipides, chaque collation devant se composer d’une portion de chaque, comme nous l’avons vu, pour pouvoir contrôler le taux de sucre sanguin (la glycémie) à un niveau normal.

Bien souvent cette collation sera prise durant une pause au travail et c’est pour cela qu’il faut pouvoir la transporter facilement et la manger sans avoir à préparer quoique ce soit.

Pomme et stéthoscope
Barre Chocolatée pour collation BMTBV®

Barre Chocolatée pour collation BMTBV®

Les Glucides pourront être apportés par un fruit, une portion de galette ou une portion de pain confectionné avec des céréales non modifiées.

Les Protides pourront être un peu de charcuterie, une volaille froide, un œuf dur ou un yaourt au soja nature, par exemple.

Les Lipides, bien sûr, pourront être des fruits secs oléagineux.

Nous avons aussi travaillé à la mise au point d’une « barre pour collations » équilibrée avec des oméga 3 d’origine végétale et animale ; ces « barres » sont de 150 Cal et il vous faut donc en consommer en proportion de votre coefficient ARJUM.

Par exemple :

*si votre coefficient ARJUM est égal à 1 pour une collation vous aurez besoin de 100 Cal donc vous consommerez les deux tiers de la barre (100 / 150 = 0,6667 ) soit les deux tiers de la barre.

*si votre coefficient ARJUM est égal à 0,5 pour une collation vous aurez besoin de 100 X 0,5 = 50 Cal donc vous consommerez le tiers de la barre (50/150 = 0,3333 ) soit le tiers de la barre.

Ces barres sont très denses sur le plan énergétique. Nous vous conseillons donc de ne surtout pas les ingurgiter rapidement mais, au contraire, de les déguster lentement voir de les laisser fondre en bouche.

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NOTA : Parfois, compte-tenu de l’emploi du temps, si vous êtes amené à ne prendre qu’une des deux collation du fait, par exemple de repas assez rapprochés (de moins de 6 heures) ; il ne sera, dans tous les cas, pas souhaitable de prendre une collation (de « rattrapage ») après un repas du soir tardif mais, au contraire, de doubler les portions de Glucides, Protides et Lipides de la collation; Il est, en effet, en revanche, important de toujours respecter la quantité totale de nourriture qui doit être amenée par les onze portions de Glucides, Protides et Lipides dans la journée.

A – Garder un bon équilibre alimentaire

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A/ LA GLYCÉMIE ET LES PROPORTIONS DE GPL (Glucides, Protides et Lipides)

De l’équilibre alimentaire dépend le bon fonctionnement de l’organisme : si on se maintient dans le JUste Milieu on reste forcément en Bonne Santé.

On évite toutes les maladies internes et on est moins touché par les événements extérieurs (maladies infectieuses, accidents, problèmes psychiques) car notre organisme renforce ses capacités de défenses (défenses immunitaires notamment).

Cet équilibre alimentaire dépend surtout des apports, de ce que nous donnons à manger à notre corps ; cela peut-être comparé au carburant nécessaire pour faire fonctionner correctement une automobile : il faut la quantité et la qualité.

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Pour aller loin il faut un réservoir bien plein et mettre le carburant approprié : essence, diesel ou GPL !

Les GPL : pour notre corps il faut une quantité suffisante de GPL (Glucides, Protides, Lipides) en bonne proportion.
Toute plaisanterie mise à part, les GPL nous apportent l’énergie nécessaire pour que notre corps fonctionne, maintienne une température constante et permette au cerveau de fonctionner au mieux de ses capacités.

Le cerveau se nourrit de glucose et consomme 70 à 80 % du glucose utilisé par l’organisme ; s’il en manque des troubles de la conscience ne tardent pas à apparaître et la vie peut être mise en péril.

NOUS DEVONS DONC MAINTENIR UN NIVEAU SUFFISANT DE GLUCOSE DANS NOTRE SANG.

Pour cela le mieux est que la glycémie (le taux sucre dans le sang) soit maintenue à un niveau constant qui est généralement estimé de 0,75 à 1,10 grammes de glucose par litre de sang.

C’est ici qu’intervient l’Insuline produite dans le pancréas qui a pour but de faire baisser la glycémie (le taux de sucre dans le sang) et le problème de sa régulation.

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Quand on absorbe des aliments glucidiques (notamment tous les aliments sucrés) la glycémie augmente jusqu’à dépasser cette limite de 1,10 g/l (c’est l’hyperglycémie), cela entraine une production exagérée d’Insuline qui va très rapidement faire baisser la glycémie au-dessous du seuil de 0,75 g/l (c’est l’hypoglycémie) avec sensation de fatigue, somnolence et faim.

Cette faim, souvent sous forme de fringale, va inciter à manger pour « se remonter » et par la même occasion  remonter la glycémie au-delà de la limite supérieure de 1,10 g/l; d’où production exagérée d’Insuline et on recommence !

L’organisme passe de l’hyperglycémie à l’hypoglycémie (et inversement) et ne reste que peu de temps dans la zone du JUste Milieu (entre 0,75 et 1,10 g/l), dite zone normo-glycémique.

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C’est ainsi que, chez certaines personnes prédisposées, on va arriver à épuiser les capacités de production de l’Insuline qui, insuffisante, ne pourra plus faire baisser le sucre dans le sang ! Ces personnes vont devenir pré-diabétique et, si rien n’est fait, devenir carrément diabétique.

C’est pour cela que, suivant les études de scientifiques américains, nous proposons une méthode pour rester toujours normo-glycémique, disposer de la quantité de sucre idéale pour notre corps et notre cerveau !

La méthode pour rester normo-glycémique consiste :

  •  d’une part à échelonner les apports tout au long de la journée en ne laissant jamais passer plus de 4 heures (6 heures au grand maximum) sans manger.
  • d’autre part à s’assurer que chaque repas est équilibré en GPL pour éviter les variations extrêmes de la glycémie et les « pics » d’insuline qu’elle entraine.

La nuit le métabolisme change et, sauf cas particuliers, on ne fait pas d’hypoglycémie.

Le principe est de considérer l’apport calorique dont le corps a besoin pour assurer toutes ses fonctions selon la dépense énergétique prévue (voir le tableau de facteur d’activité physique).

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Cet apport alimentaire doit aussi assurer « la reconstruction du corps » avec un apport protéique (viandes pour faire simple) suffisant et une bonne qualité des membranes des cellules qui doivent être « bien huilées » et donc avoir un apport lipidique (graisses pour faire simple également) suffisant.

L’expérience et les expérimentations diverses ont montré que le rapport idéal pour les GPL est de 4/3/3 : 40 % de l’apport calorique doit venir des Glucides, 30 % des Protides et 30 % des Lipides.

Comme cet apport doit être fractionné tout au long de la journée de façon à rester toujours normo-glycémique de façon pratique il a été adopté une solution qui correspond à la grande majorité des gens : la quantité globale des GPL est divisée en 11 portions.

Ainsi on peut faire :

3 repas avec chacun : 3 portions de Glucides, 3 portions de Protides et 3 portions de Lipides

2 collations avec chacune : 1 portion de Glucides, 1 portion de Protides et 1 portion de Lipides

Cela donne des horaires classiques : repas du petit déjeuner vers 7 heures, repas de Midi vers 12 heures, collation vers 16 – 17 heures, dîner vers 19 heures et encore une collation une heure avant d’aller au lit.

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Bien entendu chacun devra adapter ce fractionnement en fonction de ses habitudes ou contraintes horaires en respectant les règles suivantes :

1/ Ne pas laisser passer 4 heures (6 heures au maximum) pendant une journée sans manger ne serait-ce qu’une collation.

2/ Fractionner les GPL totaux en 11 portions et ne pas manger plus de 4 portions de GPL dans un même repas.

3/ Il est impératif que les repas et les collations comprennent le même nombre de portions de Glucides, Protides et Lipides (GPL) pour maintenir la stabilité du taux de sucre dans le sang (glycémie).

Ces opérations vous seront facilitées par l’utilisation de notre module où vous n’aurez qu’à entrer les mensurations demandées et le facteur d’activité que vous prévoyez pour la journée. Nous calculerons en ligne votre coefficient ARJUM mais aussi celui de tous vos convives de la journée si vous souhaitez.

Ainsi vous pourrez alors:

 

–          Choisir dans les centaines d’aliments préconisés du point de vue de la rectification alimentaire qui vous donneront ainsi des idées pour les achats et la cuisine ou bien confectionner un de « menus gastronomiques » que nous vous proposons.

–          Ou choisir l’une des centaines de recettes que nous aurons adaptées à votre cas spécifique.

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Vous pourrez ainsi Bien Manger et Très Bien Vivre sans oublier les vertus du raisin, noir surtout, dont le jus apportera des vitamines, minéraux, oligo-éléments et anti-oxydants importants et plus encore, si rien ne s’y oppose, le vin (avec modération, sauf les jours de fête pour ceux qui ne doivent pas conduire) qui est du jus de raisin fermenté et nous verrons ailleurs les avantages extraordinaires des aliments fermentés !

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B/ LA LONGÉVITÉ ET LA FAIM

Depuis toujours l’expérience a montré que généralement les « maigres » vivaient plus longtemps que les « gros » !

Pour le démontrer des scientifiques de tous pays ont fait des expérimentations sur des animaux et ce sont aperçus que les animaux qui étaient soumis à une « restriction calorique » (avec un apport diminué de 30 % à 40 % environ) gagnaient 15 à 20 % de temps de vie en Bonne Santé par rapport aux animaux qui étaient « normalement » nourris.

Des études statistiques sur des populations humaines comparables ont donné le même résultat.

Dans l’ARJUM© c’est ce que nous proposons : par exemple pour un homme moyen de 1,80 m (pour les hommes la taille n’a pas besoin d’être intégrée à l’abaque automatique), 75 kg, tour du ventre au niveau du nombril (périmètre abdominal) 100 cm et tour de poignet 17 cm avec un facteur d’activité de 0,7 à 0,8 nous trouvons que son besoin calorique théorique est de 2.200 Calories par jour.

Toute notre méthode est conçue pour lui en apporter environ 30 % de moins soit autour de 1.500 Calories par jour !

Comment peut-il ne pas avoir FAIM ?

C’est là encore une astuce du JUste Milieu : il faut d’abord préciser que la sensation de ne pas avoir faim est différente de la sensation d’avoir trop mangé, d’être rassasié, d’en avoir jusqu’à la gorge si nous pouvons nous permettre l’expression !

La sensation de faim est plutôt liée, comme nous l’avons vu, à l’hypoglycémie or l’ARJUM© vous propose justement de ne jamais être en hypoglycémie et c’est pour cela qu’il convient de manger toutes les 4 heures.

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Dans la pratique vous allez vous apercevoir qu’effectivement 4 à 6 heures après un repas composé de 3 portions de Glucides, 3 portions de Protides et 3 portions de Lipides (3 portions de GPL) vous commencez à sentir une petite sensation de faim, vous êtes moins concentré(e), vous avez moins de tonus : alors un repas !ou une collation et vous revoilà dans le JUste Milieu !

Ainsi vous allez pratiquer une restriction calorique en n’ayant jamais faim, ce qui est loin d’être le cas de la plupart des régimes restrictifs, et en étant toujours au mieux de vos performances physiques et intellectuelles

ATTENTION : Il faut savoir que toutes les données fournies par les organismes officiels sur les quantités de GPL et de calories sont différentes d’un pays à l’autre car la teneur des aliments en GPL varie selon, les saisons, les lieux de production, les espèces, …

De plus les méthodes de mesures sont diverses et ne font pas consensus ; nous avons fait une synthèse ( voir la table des ingrédients classés suivant vos préférences par ordre alphabétique, par rayons de vente, par Glucides-Protides-Lipides générés) de nombreuses données en nous appuyant notamment sur les tables CIQUAL de l’ANSES (agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) qui nous ont paru être les tables les mieux documentées.

En conséquence vous devez respecter des lignes directrices :

a/ les aliments autorisés,

b/ la proportion des GPL,

c/ le fractionnement des repas

Mais vous devrez adapter les quantités proposées par l’ARJUM à vos conditions particulières qui dépendent grandement de votre capital génétique.

Après un mois de l’ARJUM® vous adapterez votre alimentation en mangeant un peu plus ou un peu moins selon les cas.

Au début, le critère le plus simple pour savoir si les quantités que vous mangez vous conviennent c’est de constater :
– que vous maigrissez si vous êtes en surpoids ou obèse (sinon il vous faudra baisser les quantités car vous êtes encore en excès calorique)

– que vous prenez du poids si vous êtes trop maigre (sinon il vous faudra augmenter les quantités car vous êtes en insuffisance calorique).

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Après un mois de l’ARJUM vous vous rendrez déjà compte des résultats de vos nouvelles habitudes de vie ; vous serez plus performant dans ce que vous faites, moins fatigué et en meilleure forme générale.

Bien Manger Très Bien Vivre c’est cela !

Premier remède – Généralités

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Que l’aliment soit ton premier remède : c’est le principe du JUste Milieu !
Pour rester dans ce JUste Milieu il faut :

A/ Garder un bon équilibre alimentaire tout au long de la journée pour éviter les maladies

Cet équilibre dépend surtout de la production de l’insuline qui est une hormone secrétée par le pancréas afin de réguler la quantité de sucre dans le sang (= glycémie).

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Cet équilibre est maintenu en consommant les GPL (Glucides, Protides et Lipides) selon le schéma suivant (Voir TABLES) :

Répartition des repas et collations durant une journée

Répartition repas et collations dans une journée

Cela permet à la glycémie de se maintenir dans les limites normales pour rester en bonne santé et éviter les maladies de surcharge dont notamment le diabète de type II, l’obésité et les maladies cardio-vasculaires.
Cela permet aussi de favoriser la production des « bonnes éicosanoïdes » et de freiner celles des « mauvaises éicosanoïdes ».

B/ Avoir un apport suffisant en Oméga 3, l’exemple d’Okinawa :

C’est l’île japonaise qui compte le plus grand nombre de centenaires par rapport à sa population ; les observations des scientifiques ont permis de conclure que leur secret résidait dans le fait que :

Ils pratiquaient une activité physique modérée et différentes formes de méditation,

Ils pratiquaient spontanément la restriction alimentaire,

Ils mangeaient du poisson cru et des légumes particuliers qui leur apportaient une quantité importante d’Oméga 3, notamment d’EPA.

Ce dernier point permet en particulier de favoriser la production des « bonnes éicosanoïdes » et de freiner celles des « mauvaises éicosanoïdes ».

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Pour absorber une quantité suffisante d’Oméga 3  il nous faudrait manger du poisson cru à tous les repas ! Cette prise quotidienne nous permettrait d’éviter des carences en Acides Gras Essentiels qui sont protecteurs contre les maladies dégénératives et ralentissent le vieillissement des cellules.

Ce n’est pas possible en pratique et, de plus, la plupart des poissons que nous mangeons sont pollués par les métaux lourds et les pesticides ; la méthode qui a été suggérée par des médecins spécialisés est la prise d’un complément d’Oméga 3 sous la forme d’huile de poisson ultra concentrée et soumise à la distillation moléculaire.

La distillation moléculaire de l’huile de poisson permet d’enlever les métaux lourds et les pesticides en concentrant les Oméga 3.

C’est pour cela que l’équipe BMTBV® vous propose ‘EICOS Liquid®’  une huile de poisson ultra concentrée (50 % d’EPA et 20 % de DHA) agréablement parfumée à la mandarine rouge et au romarin à consommer de préférence après le repas du soir à raison d’une cuillérée à café pour le maintien en bonne santé et de deux cuillérées à café en cas de problèmes chroniques de santé.

C/ Avoir accès à un complément alimentaire équilibré :

En variant notre alimentation comme nous le recommandons nous devrions, en théorie, ne manquer d’aucun minéral et d’aucune vitamine …

Malheureusement du fait des changements de mode agricole (sélection des espèces et emplois d’engrais chimiques) la densité nutritionnelle des aliments a changé : l’exemple extrême étant celui de la fraise dont la densité nutritionnelle (teneur en vitamines, minéraux et oligo-éléments) était de 1 dans les années 60’s on s’aperçoit qu’elle est passée à 0,02, soit cinquante fois moins un demi-siècle plus tard !!! (Voir article Futura et Agnès Rousseau)

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Les travaux du Dr Ray Strand ont bien montré le déficit chronique qui porte surtout sur le groupe des vitamines B (dont la carence entraine de nombreuses maladies dégénératives) et certains minéraux, c’est pourquoi nous proposons dans le cadre de l’ARJUM (Alimentation Rectifiée du JUste Milieu) un ‘Complexe ÉQUILIBRE’ de Vitamines et Minéraux, ces derniers étant présentés sous forme de pidolates pour une assimilation optimale (nous vous conseillons de 2 à 6 gélules par jour, durant les repas, en fonction de la qualité de vos apports alimentaires).

Ne pas nuire

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D’abord ne pas nuire c’est ne pas absorber des aliments qui nuisent à notre santé soit parce que nous ne pouvons pas les digérer correctement, soit parce qu’ils attaquent directement nos cellules.

Dans les principes de l’ARJUM®, nous avons retenu que les laitages et les céréales modifiées d’une part et les xénobiotiques d’autre part, peuvent se classer dans cette catégorie, nous allons expliquer cela grâce à l’observation et au bon sens.

1/ Les laitages :

a/ À l’état sauvage aucun mammifère ne va téter sa mère après le sevrage.

b/ À l’état sauvage aucun mammifère ne va téter une femelle d’une autre espèce.

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L’Homme est un mammifère différent des autres puisqu’il se tient debout, qu’il a l’usage de la parole et qu’il peut raisonner mieux que les autres mammifères, du moins le croit-il ! Mais ce n’est pas ce qui lui permet d’échapper à sa condition de base de mammifère.

Donc après que sa mère ait arrêté de lui donner le sein l’enfant devrait arrêter aussi de consommer des laitages.

De plus la qualité et la composition du lait varie d’une espèce à l’autre : le lait de la vache est adapté au fait que le veau doit grandir vite et prendre rapidement de la force ; le lait de la femme est davantage fait pour que son enfant ait un cerveau qui fonctionne bien !

Comme les besoins des espèces animales sont différents, la composition du lait diffère selon les espèces.

c/ Cela se comprend d’autant mieux quand on sait que, depuis les années 50, on enseigne en Faculté de Médecine que la plupart des enfants perdent leur enzymes pour digérer le lait entre deux et quatre ans.

Alors pourquoi continuer à consommer des laitages alors que nous n’avons plus la possibilité de bien les digérer et de bien les assimiler ? (voir les travaux du Dr Jean Seignalet)

2/ Les céréales modifiées :

Ce sont de céréales qui ont subi des modifications dans leur génome par suite de l’intervention humaine.

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Prenons le blé par exemple : le blé originel, appelé engrain, avait 7 paires de chromosomes dans son génome et la Nature ou le Bon Dieu, selon ce à quoi l’on croit, nous avait pourvu d’enzymes pour les digérer.

Mais, il y a huit ou dix mille ans de cela, l’Homme qui était nomade, chasseur-cueilleur, est devenu sédentaire et a cultivé la terre qu’il s’est approprié et a commencé à modifier son environnement.

Il a essayé de produire plus en travaillant moins et a commencé à croiser diverses variétés de blé ; grâce à ces croisements il s’est aperçu qu’il avait une production plus importante et a pris en considération cette quantité sans s’apercevoir que la qualité du blé avait changé : la science actuelle montre que de 7 paires de chromosomes dans son génome il est passé à 14 paires, sa structure protéique s’est modifiée et le nouveau blé ne pouvait plus être digéré correctement par nos enzymes qui étaient prévus pour digérer l’engrain, le blé à 7 paires de chromosomes. Pis encore ! Les blés modernes ont 21 paires de chromosomes dans leur génome.

Mais si les céréales peuvent changer de génome d’une génération à l’autre, on sait que l’Homme, lui, n’a pas changé de génome depuis au moins 150.000 ans ! Ce qui veut dire que ses enzymes n’ont pas pu s’adapter au changement de structure protéique des céréales modifiées.

Ainsi avec le blé on se retrouve dans le même cas qu’avec les laitages ; qui plus est de nombreuses céréales ont subi des modifications de leur génome et, en pratique, il ne reste plus que le riz, le sésame, le sarrasin et le quinoa qui n’aient pas été modifiés.

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Alors pourquoi continuer à consommer des céréales que nous n’avons plus la possibilité de bien digérer et de bien assimiler ?

3/ Les xénobiotiques :

C’est un mot « savant » pour désigner tous les produits étrangers (xéno) à la Vie (bio), ce sont notamment tous les additifs ajoutés à l’alimentation industrielle surtout :

Les pesticides qui sont destinés à tuer des insectes ou des plantes

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Les agents de conservation qui sont de vrais antibiotiques car ils empêchent le développement des micro-organismes, etc …

Tous ces produits qui ne devraient pas rentrer dans notre corps s’y retrouvent en abondance et empoisonnent nos cellules, nuisent à leur bon fonctionnement.

Pour éviter cela il faut nous tourner vers les produits issus de l’agriculture biologique qui contiennent le moins possible de xénobiotiques et qui ont une densité nutritive (teneur en minéraux, vitamines et oligo-éléments) de 30 à 50 % supérieure aux produits cultivés « chimiquement ».

S’il n’est pas possible de se procurer des produits bio il faut se tourner vers les produits issus de l’agriculture « raisonnée » ou en dernier ressort choisir dans les produits de la grande distribution ceux qui utilisent le moins de xénobiotiques au cours de leur production et de leur transformation.

Enfin, bien sûr, pour éviter tous les conservateurs, consommer au maximum des produits de saison et de proximité !