Le petit déjeuner
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LE PETIT DÉJEUNER
Vous l’aurez compris, le petit déjeuner continental bourré de céréales et de produits laitiers est une véritable catastrophe !
Ingurgité à la va-vite, (quand il est pris…), il entraine évidemment à 10 ou 11 heures le « coup de pompe » (ou l’hypoglycémie pour employer un terme plus médical).
Dans l’ARJUM®, pour le petit déjeuner, nous vous proposons de faire un vrai repas avec 3 portions de Glucides, 3 portions de Lipides et 3 portions de Protides.
Tout d’abord, n’oublions pas qu’il ne faut pas attendre plus d’une heure après le réveil pour prendre son petit déjeuner.
Selon vos habitudes de vie vous pouvez faire un vrai repas classique et vous n’avez qu’à procéder comme pour les autres repas de la journée.
Cependant, (trop) nombreux sont encore ceux qui n’ont pas envie de faire un « vrai » repas pour commencer la journée par manque d’habitude ou de temps. Dans ce cas, vous pouvez vous y adapter néanmoins progressivement en composant votre repas du petit déjeuner, dans un premier temps, de la façon suivante :
- Glucides : Des fruits de saison frais (pas de jus de fruit du commerce ni même de jus de fruit confectionné à la maison avec une centrifugeuse à partir de fruits frais car on perd toutes les fibres), une galette de sarrasin, de riz ou de quinoa, une cuillère de confiture ou miel (vérifier les étiquettes)…
- Protides : Des protéines sous forme d’œufs, de blancs d’œuf, de charcuterie, de viande, de poissons ou de différentes formes de soja selon votre goût…
- Lipides : Des fruits secs oléagineux (noix, noisettes, amandes, …)
- Un bol de tisane, de thé ou de café.
En préparant vos ingrédients la veille cela vous permettra de ne pas perdre de temps le matin si vous êtes pressé et vous évitera de manger des fruits trop froids, sortis directement du réfrigérateur.
Vous calculez les quantités qu’il vous faut grâce au composeur de menu ARJUM® et vous vous régalez de ce nouveau petit déjeuner qui vous apportera confort et bien-être toute la matinée ou du moins jusqu’à l’heure de la collation ; n’oubliez pas qu’il ne faut jamais laisser passer plus de 4 heures (au grand maximum 6 heures) sans prendre un repas ou une collation.
Bien entendu, comme toujours, VARIEZ!
Tous les jours, essayez de changer d’ingrédients pour éviter de développer des intolérances alimentaires.
Nota : En matière de poisson, pour ceux qui sont prêts à en manger le matin de bonne heure, vous pouvez consommer des petits poissons en conserve, harengs et sardines et maquereaux notamment, en faisant bien attention de lire scrupuleusement la composition pour éviter tout xénobiotique éventuellement contenu dans les ingrédients accompagnant les poissons cuisinés.
Ne pas nuire
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D’abord ne pas nuire c’est ne pas absorber des aliments qui nuisent à notre santé soit parce que nous ne pouvons pas les digérer correctement, soit parce qu’ils attaquent directement nos cellules.
Dans les principes de l’ARJUM®, nous avons retenu que les laitages et les céréales modifiées d’une part et les xénobiotiques d’autre part, peuvent se classer dans cette catégorie, nous allons expliquer cela grâce à l’observation et au bon sens.
1/ Les laitages :
a/ À l’état sauvage aucun mammifère ne va téter sa mère après le sevrage.
b/ À l’état sauvage aucun mammifère ne va téter une femelle d’une autre espèce.
L’Homme est un mammifère différent des autres puisqu’il se tient debout, qu’il a l’usage de la parole et qu’il peut raisonner mieux que les autres mammifères, du moins le croit-il ! Mais ce n’est pas ce qui lui permet d’échapper à sa condition de base de mammifère.
Donc après que sa mère ait arrêté de lui donner le sein l’enfant devrait arrêter aussi de consommer des laitages.
De plus la qualité et la composition du lait varie d’une espèce à l’autre : le lait de la vache est adapté au fait que le veau doit grandir vite et prendre rapidement de la force ; le lait de la femme est davantage fait pour que son enfant ait un cerveau qui fonctionne bien !
Comme les besoins des espèces animales sont différents, la composition du lait diffère selon les espèces.
c/ Cela se comprend d’autant mieux quand on sait que, depuis les années 50, on enseigne en Faculté de Médecine que la plupart des enfants perdent leur enzymes pour digérer le lait entre deux et quatre ans.
Alors pourquoi continuer à consommer des laitages alors que nous n’avons plus la possibilité de bien les digérer et de bien les assimiler ? (voir les travaux du Dr Jean Seignalet)
2/ Les céréales modifiées :
Ce sont de céréales qui ont subi des modifications dans leur génome par suite de l’intervention humaine.
Prenons le blé par exemple : le blé originel, appelé engrain, avait 7 paires de chromosomes dans son génome et la Nature ou le Bon Dieu, selon ce à quoi l’on croit, nous avait pourvu d’enzymes pour les digérer.
Mais, il y a huit ou dix mille ans de cela, l’Homme qui était nomade, chasseur-cueilleur, est devenu sédentaire et a cultivé la terre qu’il s’est approprié et a commencé à modifier son environnement.
Il a essayé de produire plus en travaillant moins et a commencé à croiser diverses variétés de blé ; grâce à ces croisements il s’est aperçu qu’il avait une production plus importante et a pris en considération cette quantité sans s’apercevoir que la qualité du blé avait changé : la science actuelle montre que de 7 paires de chromosomes dans son génome il est passé à 14 paires, sa structure protéique s’est modifiée et le nouveau blé ne pouvait plus être digéré correctement par nos enzymes qui étaient prévus pour digérer l’engrain, le blé à 7 paires de chromosomes. Pis encore ! Les blés modernes ont 21 paires de chromosomes dans leur génome.
Mais si les céréales peuvent changer de génome d’une génération à l’autre, on sait que l’Homme, lui, n’a pas changé de génome depuis au moins 150.000 ans ! Ce qui veut dire que ses enzymes n’ont pas pu s’adapter au changement de structure protéique des céréales modifiées.
Ainsi avec le blé on se retrouve dans le même cas qu’avec les laitages ; qui plus est de nombreuses céréales ont subi des modifications de leur génome et, en pratique, il ne reste plus que le riz, le sésame, le sarrasin et le quinoa qui n’aient pas été modifiés.
Alors pourquoi continuer à consommer des céréales que nous n’avons plus la possibilité de bien digérer et de bien assimiler ?
3/ Les xénobiotiques :
C’est un mot « savant » pour désigner tous les produits étrangers (xéno) à la Vie (bio), ce sont notamment tous les additifs ajoutés à l’alimentation industrielle surtout :
Les pesticides qui sont destinés à tuer des insectes ou des plantes
Les agents de conservation qui sont de vrais antibiotiques car ils empêchent le développement des micro-organismes, etc …
Tous ces produits qui ne devraient pas rentrer dans notre corps s’y retrouvent en abondance et empoisonnent nos cellules, nuisent à leur bon fonctionnement.
Pour éviter cela il faut nous tourner vers les produits issus de l’agriculture biologique qui contiennent le moins possible de xénobiotiques et qui ont une densité nutritive (teneur en minéraux, vitamines et oligo-éléments) de 30 à 50 % supérieure aux produits cultivés « chimiquement ».
S’il n’est pas possible de se procurer des produits bio il faut se tourner vers les produits issus de l’agriculture « raisonnée » ou en dernier ressort choisir dans les produits de la grande distribution ceux qui utilisent le moins de xénobiotiques au cours de leur production et de leur transformation.
Enfin, bien sûr, pour éviter tous les conservateurs, consommer au maximum des produits de saison et de proximité !