Quel est le rapport entre inflammation chronique et maladie chronique ?
Parfois c’est une inflammation qui perdure et qui est responsable de la maladie chronique ; la cause peut-être :
- Toxique, par exemple : au niveau du foie (alcool, solvants organiques, …),
- Infectieuse (virale, bactérienne, parasitaire ou fongique)
- Auto-immune (Polyarthrite Rhumatoïde, Spondylarthrite ankylosante, Psoriasis, Lupus, …)
- Métabolique (diabète, obésité, …)
Dans ces cas-là il faut bien sûr essayer de combattre la cause.
Souvent on ne retrouve pas de cause et on parle alors d’inflammation « idiopathique ».
DANS TOUS LES CAS : toutes les maladies chroniques s’accompagnent d’inflammation ; celle-ci est mesurée classiquement par la VS (Vitesse de Sédimentation, la CRP (Protéine C Réactive) et l’électrophorèse des protéines.
Cependant cette inflammation chronique n’est autre que la somme de l’inflammation des cellules de l’organe ou de l’organisme et elle peut être mesurée indirectement par l’étude des acides gras des phospholipides de la membrane des globules rouges ; c’est un examen encore peu courant en France, pratiqué par quelques CHU et un laboratoire privé.
Cet examen permet d’objectiver l’inflammation cellulaire et le rapport Oméga 3 / Oméga 6.
L’alimentation moderne et le mode de vie actuel augmentent la quantité d’Oméga 6 dans l’organisme au détriment des Oméga 3 ; les Oméga 6 favorisent l’inflammation, les Oméga 3 s’y opposent.
Dans tous les cas de maladies chroniques il faut d’abord combattre l’inflammation cellulaire en apportant des quantités suffisantes d’Oméga 3 : c’est ce que propose la méthode BMTBV® avec l’apport quotidien minimal de 5 à 10 ml de l’huile de poisson ultra concentrée EICOS LIQUID®.
Bien sûr cet apport indispensable pour retrouver une santé durable doit être complété par les exercices physiques et l’alimentation décrite sur le site https://www.bmtbv.com/introduction/ et les médications appropriées à la maladie chronique envisagée.
Par ailleurs, de nombreuses études aujourd’hui montrent que le processus d’inflammation joue un rôle majeur dans les maladies neurodégénératives, pulmonaires, auto-immunes, cardiovasculaires, néoplasiques et la plupart des autres maladies chroniques. Une épice, le curcuma, possède une multitude de propriétés thérapeutiques et médicinales lorsqu’il est associé à de la pipérine (présente dans le poivre) pour une absorption accrue. En inhibant plusieurs marqueurs inflammatoires, la curcumine a montré un potentiel élevé pour ces maladies problématiques. Bien que le vieillissement ne soit pas une maladie en soi, le processus de vieillissement et la mort cellulaire peuvent entraîner une morbidité. Par conséquent, le ralentissement du processus de vieillissement peut retarder l’apparition de maladies liées à l’âge. Le ralentissement du vieillissement cellulaire est le domaine où la curcumine entre en jeu.