Bien entendu nous vous donnons de nombreuses recettes mais vous n’allez pas les mettre en œuvre au quotidien ; vous allez les réserver pour la réception d’amis ou bien des repas dominicaux en famille.

La vie moderne ne laisse pas à grand monde le loisir de confectionner des plats élaborés tous les jours.

C’est encore plus vrai pour les personnes seules ! Nous allons pourtant vous montrer comment une personne seule peut faire de la cuisine succulente de façon rapide.

Et ce sera tout aussi facile si l’on doit cuisiner rapidement pour plusieurs personnes !

Les repas pour personnes seules sont faciles à cuisiner à condition que l’on soit organisé et que l’on s’y soit préparé ; nous voulons dire par là qu’il est utile de passer une à deux heures une fois par semaine pour faire ses courses dans un magasin bio de préférence, sur un marché de proximité, dans un supermarché ou bien même dans l’épicerie du village comme il en existe encore.

Faire les courses une fois par semaine est suffisant ; il suffit d’avoir un bon réfrigérateur -on n’est même pas obligé de posséder un congélateur- avec un bon compartiment légumes. Il existe maintenant des réfrigérateurs avec des sections qui conservent les produits entre 0 et 4 °C qui permettent une excellente conservation sur la semaine entière et même plus.

Pour faire vos courses, il vous suffit de sélectionner parmi les centaines d’ingrédients que nous avons retenus (voir la table GPL) en tenant compte de votre coefficient ARJUM® (ou celui de l’ensemble des convives pour la semaine). Notre site adaptera automatiquement en fonction de cela, les poids à retenir pour vous (ou pour tous les convives).

Si vous étiez dans l’impossibilité de vous connecter à ce site,  en tenant compte des coefficients  ARJUM® qui vous sont propres vous pourriez également parvenir au même résultat avec les ingrédients tels que nous vous les détaillons dans la table GPL des ingrédients (Voir ICI).  Il s’agira alors d’appliquer une simple règle de trois. Munissez-vous d’une calculette en plus de la loupe qui ne doit jamais vous quitter pour lire les étiquettes !

ET SURTOUT ! SURTOUT ! Faites cela approximativement à 10 ou 20 % près : les chiffres que nous vous donnons sont très précis car il faut bien se baser sur un JUste Milieu idéal et notre calculateur nécessite des valeurs précises mais rappelez-vous que ce qui devra vous guider à l’avenir c’est l’expérience, le bon sens,, la sensation de votre corps et les progrès que vous accomplirez et ressentirez.

Utilisez abondamment toutes sortes d’aromates ou d’épices qui sont généralement de très bons antioxydants et qui agrémentent le goût des aliments les plus insipides.

Vous mangez le fruit au début de repas ou, au pire… si vous êtes vraiment très pressé, pendant que vous cuisinez (pour la plupart des personnes manger le fruit avant le repas évite des flatulences) puis vous mangez lentement en appréciant les saveurs et en dégustant à petites gorgées le vin dont vous savourez les arômes.

Vous vous serez régalé, vous aurez consommé un repas plein de « Jing » (subtilité dans les saveurs), vous aurez passé moins de temps que si vous étiez allés au restaurant et vous aurez mangé des mets meilleurs et bien moins chers.

Vous connaissez ainsi l’origine de vos produits et surtout vous utilisez de l’huile et des épices ou aromates de très bonne qualité et vous évitez au maximum tous les xénobiotiques ! (Vous êtes sûr que la sauce ne contient pas de lait ou de farine de céréales modifiées).

Dans l’organisation de départ il faut aussi préparer les ustensiles et les condiments nécessaires à la cuisine au quotidien.

Pour l’huile n’utilisez au quotidien que de l’huile d’olive de première pression à froid de qualité précisée « Huile d’Olives Vierge Extra »et ajoutez parfois un peu d’huile de noix ou un filet d’huile de sésame pour changer de goût ; évitez l’huile de tournesol, de pépins de raisin, de soja, … qui sont riches en Oméga 6 et vont donc favoriser la production d’Acide Arachidonique et de « mauvaises éicosanoïdes » pro-inflammatoires. De plus ces huiles devraient être gardées hermétiquement closes au réfrigérateur (du moins à l’abri de la lumière) pour éviter leur oxydation qui est toujours très rapide.

Pour les fritures, utilisez une friteuse qui assurera le contrôle de la température et utilisez de l’huile d’arachide qui résiste bien à la chaleur, changez-la après cinq ou six utilisations maximum ; bien entendu, les fritures doivent être exceptionnelles, au maximum une fois par semaine !

Sachez aussi qu’après un certains temps de rectification alimentaire (suppression des laitages et des céréales modifiées, diminution des xénobiotiques), vous arriverez à manger des piments en petites quantité –ils sont très antioxydants- et que vous pourrez remanger certains aliments qui vous donnaient des réactions allergiques plus ou moins fortes; de même, beaucoup de rhinites allergiques cesseront, même aux plus forts moments des pollens !

Si vous n’avez pas de pathologie particulièrement grave mettez ces principes en application et régalez-vous de toutes ses saveurs retrouvées !